le Val Pelouse (1715m)

Voilà une belle découverte. Le massif des Sept Laux propose quantité de grimpées tout le long de la large vallée de l’Isère. Ca commence par Montgilbert, presque à l’angle de la jonction avec la Maurienne et ça finit aux portes de Grenoble par Chamrousse. De toutes ces ascensions en cul-de-sac (seul le col du Grand Cucheron permet une liaison avec la Maurienne), le Val Pelouse est, d’une part, le plus exigeant mais aussi le plus beau. Aucune station de sports d’hiver ne vient plus troubler son caractère sauvage. En effet, un projet a vu le jour dans les années 70 mais a du fermer ses remontées en 1986, faute de rentabilité.

Val pelouse 12

COTE : 94
Isère  (38) –  Départ :  la Rochette (parking de la poste)  D209 puis D208
Finish : deuxième parking
Longueur :  16,3 km
Dénivelé : 1355m
Pourcentage moyen : 8,3 %
Temps de montée :   1h 21‘30  (le 17 Octobre 2015) – Coefficient : 361
Nombre d’ascensions :  2
Tour de France :  inédit

Actualisation 2018 : Pour ma deuxième grimpée, j'ai dû me résoudre à voir grandir l'écart avec mon (premier) meilleur temps d'il y a 3 ans.  Pas d'affolement pour autant : cette grimpée exigeante venait en 5° position dans mon défi des 5 montées de Belledonne : Mouilles (Pré Marcel), Pipay (station de ski), Barioz (foyer de ski de fond), Super Collet d'Allevard et enfin Val Pelouse. J'ai triché en avançant à chaque nouvelle ascension en voiture, mais il est tout à fait possible de ne pas mettre pied à terre. Il faudra compter 2 petites heures de plus aux 8h49 qu'il m'a fallut (6h43'15 pour 81km de grimpées).

Val pelouse 16

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